Pour parler encore et toujours de cinéma, le prétexte est tout trouvé chez l'ancien et néanmoins célèbre directeur de la cinémathèque d'Alger Boudjema Kareche, inconditionnel du 7e art s'il en est : il vient de publier à compte d'auteur un récit sur la vie et l'œuvre du cinéaste Mohamed Bouamari sous le titre évocateur de "L'héritage du charbonnier", en référence aux titres de deux films différents du réalisateur disparu.