Voici les déclarations marquantes des interventions des présidents de partis en lice pour les législatives du 12 juin, au cinquième jour de la campagne électorale : - Tayeb Zitouni, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), à Guelma : le changement du système de gestion des collectivités locales constituera un des points fondamentaux qui seront soulevés par les députés du parti au sein de la future Assemblée populaire nationale. - Abou El-Fadl Baadji, secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), à Médéa : le FLN n'acceptera pas de concéder sa place sur l'échiquier politique et refuse d'occuper les lignes-arrières. - Filali Ghouini, président du Mouvement El Islah, à Bechar : plaidoyer pour que l'Etat accorde une priorité en matière de programmes de développement local des régions frontalières du Sud du pays. - Lamine Osmani, président du parti de "Sawt Echaâb", à Mascara : défendre la moralisation de l'action politique du pays et lutter contre les pratiques négatives du passé, notamment les promesses irréalisables. - Aissa Belhadi, président du Front de la bonne gouvernance, à Tissemsilt : les prochaines législatives constituent une étape importante pour la consécration des revendications populaires exprimées lors du Hirak authentique et béni. - Belkacem Sahli, secrétaire général de l'Alliance nationale républicaine (ANR), à Alger : l'ANR a opté pour la participation aux législatives, lesquelles constituent la solution à la crise que traverse le pays, au lieu d'aller vers une période de transition. - Djamel Benabdeslam, secrétaire général du Front de l'Algérie nouvelle (FAN), à Guelma : les prochaines législatives constituent un choix stratégique et un rendez-vous déterminant qu'il faut réussir. - Abdellah Djaballah, président du Front national algérien (FAN), à Alger : le boycott des élections pendant plusieurs années n'a pas été bénéfique pour le parti et n'a eu aucun impact négatif sur le Pouvoir de l'époque.