Le mouvement El-Bina a exprimé son rejet total de l'atteinte à la souveraineté nationale, de l'ingérence dans les affaires intérieures de l'Algérie et de toute velléité hostile à l'égard des institutions de l'Etat. Suite aux propos tenus récemment par le président français, Emmanuel Macron, qui participent d'une ingérence dans les affaires intérieures de l'Algérie, le mouvement El-Bina a dénoncé, dans communiqué signé par son président, Abdelkader Bengrina, "l'hystérie électorale ayant caractérisé les déclarations d'officiels français contre l'Algérie (...) lesquelles trahissent une inimitié viscérale contre notre pays et son histoire", affirmant son "rejet total de l'atteinte à la souveraineté nationale et de l'ingérence dans les affaires intérieures de l'Algérie". El-Bina a également exprimé son rejet de "toute velléité hostile contre les institutions de notre Etat et toute tentative de division", soulignant qu'"elle soutient notre pays et nos institutions officielles dans toute position souveraine qui sera prise pour contrer ces attaques incessantes émanant de parties qui n'arrivent pas à se défaire de leur vision colonialiste". Le mouvement El-Bina s'est dit fier de l'histoire et de l'unité du peuple algérien et de la cohésion des institutions de l'Etat. "Etant aujourd'hui dans l'embarras à cause de ses déboires aux plans intérieur et extérieur, le gouvernement de Macron veut nous exporter ses problèmes et ses échecs", a estimé le parti.