Par : ANOUAR BENMALEK
Le roman n'est pas une entreprise nouvelle. Il remplace les dessins et les peintures que les premiers hommes ont peints avec passion sur les parois des grottes parce qu'ils étaient terrorisés par l'inconnu qui les entourait. Le (...)
Ce 2 mai 2003, j'avais reçu la nouvelle de la mort de Mohammed Dib avec beaucoup de peine et un immense regret. La peine, évidemment, de la disparition d'un des grands écrivains de ce temps. Le regret de ne jamais l'avoir rencontré en personne.
J'ai (...)
Par : Anouar Benmalek
Parce qu'il y a un écrivain d'une part, parce qu'il y a un lecteur d'autre part, la littérature est, par définition même, une tentative de dialogue, vaine plus souvent qu'à son tour, désespérée parfois.
Elle est dialogue avec (...)
Parce qu'il y a un écrivain d'une part, parce qu'il y a un lecteur d'autre part, la littérature est, par définition même, une tentative de dialogue, vaine plus souvent qu'à son tour, désespérée parfois.
Elle est dialogue avec nous-mêmes bien sûr ; (...)
Ce titre s'inspire évidemment du titre du roman du grand écrivain Gabriel Garcia Marquez dans lequel il décrit la lente agonie, grotesque et terrible à la fois, d'un dictateur latino-américain. Le régime algérien actuel n'a rien à envier en termes (...)
Ce titre s'inspire évidemment du titre du roman du grand écrivain Gabriel Garcia Marquez dans lequel il décrit la lente agonie, grotesque et terrible à la fois, d'un dictateur latino-américain. Le régime algérien actuel n'a rien à envier en termes (...)
«…Si tu parles, tu meurs/ Si tu te tais, tu meurs/ Alors parle et meurs !», par Tahar Djaout
Nous sommes Charlie. Oui nous sommes Charlie, ne vous en déplaise, messieurs les tueurs ! Nous savons que cela vous insupporte car vous haïssez la liberté, (...)
Oui nous sommes Charlie, ne vous en déplaise, messieurs les tueurs ! Nous savons que cela vous insupporte car vous haïssez la liberté, toutes les libertés. En particulier l'une des plus fondamentales, la liberté d'expression, celle que vous croyez (...)
Ainsi donc, des juges algériens ont choisi la voie de la forfaiture et de l'ignominie : juger, au nom des croyances intimes de la majorité, les croyances intimes de la minorité, déclarant cette même minorité non seulement délictuelle, mais (...)
Ces mêmes magistrats ont pu agir ainsi sans être désavoués par leur ministre de tutelle ni, en dernier recours, par le premier gardien de la Constitution, le président de la République algérienne.Cela n'est pas étonnant, car cela n'est pas nouveau, (...)