S'il est un fait largement partagé aujourd'hui en Algérie, c'est celui de la chute du dernier bastion du rationalisme que constituait l'université. Elle a désormais rejoint le lot des autres institutions qui, depuis fort longtemps, ont perdu la (...)
ça prend l'eau, répète-t-on souvent. On dit même de l'université qu'elle a rattrapé le reste de la société et s'est mise à couler plus vite. Elle aurait déjà largement creusé. L'absence de règles dans son fonctionnement en est la principale cause. (...)