Un an après la « Toussaint Rouge », les autorités coloniales commencent à douter de leur capacité à anéantir la « rébellion » par la seule voie armée ; ainsi débute une véritable guerre des nerfs. Pour avorter le projet indépendantiste du FLN/ALN, (...)
Le but est de chercher des solutions pour sauver «l'Algérie française» et avec elle l'empire colonial. Trois mois après le déclenchement de la guerre, Jacques Chevallier, député-maire d'Alger, prend le contre-pied des colons et de la haute (...)