C'est un enfant de cinq ans qui s'adresse à son père dans l'ascenseur : “Papa, je sais pourquoi les méchants ont brûlé les voitures sur notre parking. C'est parce qu'ils sont en colère. Il y a deux jeunes qui sont morts dans un local d'électricité. (...)
Ce trente du mois d'octobre 2002, trois Algériens faisaient la “une” des journaux de l'ancien ennemi. Rafik Khalifa occupait hier la première et les quatre pages suivantes de Libération. En pages intérieures et en fausse “une”, partout, s'étalaient (...)