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La compagnie pétrolière nationale libyenne envoie une correspondance à l'entreprise nationale des travaux aux puits Pour évaluer ses pertes et l'inviter à reprendre l'exploitation de ses champs pétroliers
Des avons appris de sources bien informées dans le secteur de l'énergie que la compagnie pétrolière nationale libyenne avait adressé une correspondance à l'entreprise nationale des travaux aux puits, filiale de la Sonatrach en Libye, à l'instar des correspondances adressées aux autres compagnies pétrolières, leur demandant d'évaluer les pertes subit suite à l'arrêt de l'activité et les appelant à reprendre leur activité. L'entreprise nationale a selon ces mêmes sources assurés dans sa réponse que les pertes enregistrées sur ses sites pétroliers ne son pas très importantes comparées aux pertes considérables subit pas les autres compagnies pétrolières internationales, soulignant que la « Sonatrach avait été chanceuses par rapport aux autres sociétés ». Ces sources ont déclaré dans le même contexte que la filiale de la Sonatrach en Libye qui avait chargé une société libyenne spécialisée dans la surveillance n'avait enregistrée aucune perte concernant le matériel et les équipements qui avaient été laissés sur place après la dégradation de la situation sécuritaire en Libye. Ces sources ont d'un autre coté assuré que la Sonatrach été prête à retourner sur les sites dès que la situation sécuritaire sera rétablie dans la région, indiquant que la présence des cadres de la Sonatrach travaillant en Libye, en Algérie a été exploitée pour achever les études des deux champs que la Sonatrach a obtenu dans la région de Ghadamès au sud-ouest de la Libye. Les travaux au niveau des champs s'étaient arrêtés après le départ des employés et des cadres de la Sonatrach fin février en l'absence des conditions sécuritaires nécessaires à leurs poursuites. L'invitation de la compagnie pétrolière libyenne intervient dans le cadre de la tentative de Tripoli de reprendre totalement sa production pétrolière, puisqu'il est estimée actuellement à 800 mille baril/jour sur un total de 1.7 million de baril/jour que produisait la Libye avant la dégradation de la situation sécuritaire et la chute du régime de Mouammar Kadhafi.