La Sonatrach relance ses investissements pétroliers en Libye

Après avoir sécurisé le secteur d'activité des équipes de d'explorations et de prospections à l'ouest

Nous avons appris de sources sures que la Sonatrach a repris ses activités dans les projets de recherches et de prospections en Libye après avoir les avoir arrêté un court moment en raison de la dégradation de la situation là-bas, puisque des équipes de recherches géotechnique ont repris normalement leur activité à Ghadamès, et que la société prépare l'exploitation de deux autres champs non loin de Ghadamès.
Les mêmes sources assurent que l'Algérie détient à travers des projets de partenariat avec la compagnie libyenne de pétrole plus de 50% des projets d'exploration, de prospection et d'exploitation de pétrole sur des investissements ayant dépassé dans deux champs dans la région de Ghadamès un demi milliard de dollars. Ces sources indiquent également que l'équipe qui supervise les opérations de prospections et d'explorations de gaz et de pétrole à Ghadamès, et qui est une équipe 100% algérienne, poursuit son activité de manière quasi normale depuis quelques jours dans des opérations de recherches et de prospections dans le cadre d'un projet de partenariat conclu il y a deux ans. L'équipe algérienne qui supervise des projets de partenariat dans deux champs dans la région de Ghadamès ont débuté l'étude des opérations d'exploitation à travers des projets de construction de pipeline pour l'acheminement de gaz et de pétrole et de le joindre au réseau principal libyen afin de l'exporter par la suite. Pour ce qui est du deuxième champ dont les travaux de prospection et de recherches sont toujours en cours, Il a été décidé après la fin des opérations de recherches qui ont abouti à la découverte d'une importante quantité de gaz et de pétrole, de remettre son exploitation après que les travaux de prospection soient presque terminés. Les sites des trois projets avaient été victimes de pillages au début de la crise libyenne ce qui avait obligé la Sonatrach à geler ses activité là-bas jusqu'à ce que la situation se calme, comme l'avait auparavant annoncé le ministre de l'énergie et des mines, puisqu'il avait indiqué à ce moment la que l'Algérie n'abandonnerai pas ses investissements en Libye et qu'ils seraient momentanément suspendus.