Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
Le ministère de la justice ordonne l'interrogatoire du français à l'intérieur de la prison de Annaba L'affaire a intéressé les observateurs internationaux des législatives
Le ministère de la justice a décidé en accord avec le parquet général de la cour de justice de Annaba, selon nos sources, de transférer les séances d'auditions judiciaires du ressortissant français « Jean-Michel Baroche », impliqué dans une affaire d'espionnage et de prostitution, du tribunal de première instance, à une salle réservée à l'instruction judiciaire dans la prison de Bouzaroura à Annaba. Des sources ont indiqué à El Khabar que la décision de transférer les interrogatoires du ressortissant français « Baroche » à l'intérieur de la prison, mesure prise uniquement pour lui dans l'affaire, débuterai le 16 mai, une semaine après les élections législatives, afin d'empêcher des fuites qui pourraient nuire au déroulement de l'enquête, sachant que le juge d'instruction de la première chambre du tribunal de Annaba, prendra prochainement connaissance de nouvelles informations du laboratoire de la sureté nationale, après que les enquêteurs aient réussi à décrypter certains appareils électroniques et appareils portables. Nos sources ajoutent que les autorités judiciaires ont répondu à la suggestion de la DGSN de ne pas transférer le ressortissant français « Baroche » au tribunal de première instance pour l'interroger, pour des raisons de sécurité dont le but est selon nos sources d'éviter tout incident lors du transfert régulier par les services de la sureté nationale du ressortissant français sur une distance de 15km de la prison au tribunal de première instance pour les séances d'auditions par le juges d'instructions. D'autres sources ont indiqué que les responsables de la prison de Bouzaroura ont mis « Baroche » dans une cellule individuelle et l'ont isolé des autres détenus. Les services de sécurité s'emploient d'un autre coté à réunir le plus d'informations possibles sur les questions que poseraient certains envoyés onusiens pour surveiller les prochaines élections législatives, aux citoyens et aux journalistes, lors des couvertures médiatiques du déroulement de la campagne électorales des candidats aux législatives du 10 mai, sur l'affaire du français « Baroche » pour obtenir des détails, ce qui a étonné tous ceux qui ont été interrogé sur le sujet de manière non officielle.