L'association pour la lutte contre la drogue Echo-jeunes, activant en étroite collaboration avec l'Office national de la lutte contre la drogue et la toxicomanie, a rendu public, hier, un communiqué dans lequel elle établit une relation de cause à effet entre la vente des psychotropes et les crimes, vols, viols et agressions commis à Souk Ahras et ailleurs. Barour Karim, président de l'association, écrit à ce sujet : « Malgré la vigilance des services de sécurité et les efforts consentis par les instances judiciaires à tous les niveaux dans le domaine de la lutte contre la drogue, les vendeurs de la mort continuent à sévir dans les quartiers défavorisés, chez la population juvénile, voire en milieu scolaire où ce fléau fait des siennes ». Le signataire mentionne, par la même occasion, que la lutte contre ce phénomène passe, inéluctablement, par l'engagement de toutes les institutions, ainsi que toutes les forces vives de la nation et la répression des auteurs et associés par les moyens légaux, sans réticence aucune, ni préalables.