Suite à la parution sur votre journal du 15 novembre de l'article intitulé « 200 tonnes de déchets dangereux à l'air libre », signé par M. Kali, j'ai été surpris de constater qu'aux 200 tonnes de déchets solides soient collées les caractéristiques techniques des effluents liquides qui sont traités depuis 1997 grâce a la réalisation d'une station d'épuration qui a coûté plus de quatre milliards de centimes. Pour éclairer vos lecteurs sur l'importance de l'environnement et les contributions de la tannerie « Tafna El Amria » dans ce domaine, je vous prie de bien vouloir insérer la présente mise au point. La loi sur la protection de l‘environnement ne se limite pas uniquement à la taxe sur le déstockage des déchets (article 203) et cette affirmation est erronée car l'entreprise publique économique tannerie « Tafna El Amria » a appliqué tous les volets édictés par ladite loi : a) L'entreprise s'est dotée d'une station d'épuration pour traiter les effluents liquides qui a coûté plus de 40 millions de DA. b) L'entreprise a réalisé un audit environnemental exécuté par les experts du CNT Boumerdès en collaboration de la Direction de l'Environnement. Le P-DG A. Amouri