Les routes de la ville sont dans un piteux état sinon à la limite de l'impraticable. Des nids-de-poule, des crevasses, des ornières s'alignent en largeur et en longueur sur les principaux axes très fréquentés tels que les artères de la ville, le boulevard des 16 mètres, le boulevard Chibane Amar, la route de Sidi Amar… Les exemples des boulevards Chibane Amar et celui des 16 mètres sont édifiants. Ce dernier, qui connaît un trafic dense, est à la limite du praticable. Les artères du centre-ville, à l'exception du boulevard du 1er Novembre qui a été entièrement bitumé à l'occasion de la dernière visite du président de la République, connaissent une dégradation très avancée. Le constat est identique le long de la route reliant le quartier Sidi Amar au chef-lieu de la commune. Cette situation, qui, certes, a été occasionnée par les fortes pluies qu'a connues la région récemment, est aussi l'œuvre de l'attitude irresponsable de certains citoyens qui ne réparent jamais la chaussée après la pose de canalisations d'assainissement ou d'eau.