Les putafranges rhabillent Maje Le duo de DJettes se lance dans le stylisme avec une collection pour Maje disponible chez Colette, le 5 janvier. Une très belle façon de fêter les 10 ans de la marque. Cécile est fan de mode, illustratrice musicale et créatrice d'une ligne d'accessoires pour Lancel. Tania anime la chronique musicale du Grand Journal sur Canal+ et collabore aux pages culture de Madame Figaro. Les deux forment un duo de DJettes et s'affichent en robe bustier et diadèmes Chaumet derrière les platines. La ligne est un condensé de mode accessible, avant-gardiste et désirable. La bonne veste, le tee-shirt imprimé qu'il nous faut, la chemise à carreaux dans le ton, le jean ou le mini-short : un vestiaire de dix-huit pièces dont chacune porte le titre d'une chanson célèbre. La collection en question sera disponible dès février prochain dans les boutiques Maje. Fermeture de la dernière boutique Jean-Louis Scherrer La dernière boutique Jean-Louis Scherrer a été fermée fin 2008 par l'homme d'affaires Alain Duménil, repreneur, il y a quatre ans, de la griffe parisienne, dont il avait aussi décidé, bien avant la crise, d'arrêter les collections, selon des sources concordantes. La boutique, située à Paris VIIIe, avait été ouverte en 1971 et décorée de la main du couturier Jean-Louis Scherrer, 73 ans, qui a complètement quitté sa maison de couture depuis 1992. « La boutique de Cannes a également été fermée et la collection de prêt-à-porter présentée en mars 2008, arrêtée en cours de production », selon la même source. L'actionnaire avait décidé, début 2007, d'arrêter les défilés haute couture et n'avait pas jugé bon de conserver un styliste en titre. Une dernière collection de prêt-à-porter a été présentée au printemps 2008, mais seules quelques pièces ont été fabriquées et la boutique n'a pas été livrée. Alain Duménil est également propriétaire d'autres signatures prestigieuses de l'histoire du luxe français, Jacques Fath, le joaillier Poiray, Féraud et Smalto. Emanuel Ungaro timbré Depuis l'an 2000, une maison de mode est invitée chaque année par la Poste à dessiner sa collection de timbres. C'est donc au tour d'Ungaro d'apposer ses couleurs (notamment le rose, teinte fétiche de son fondateur) sur les enveloppes. Les dessins sont signés Esteban Cortazar, directeur artistique de la griffe depuis un an. Cette collection sera en vente à compter du 19 janvier prochain.