L'Union des étudiants dénonce La section de l'Union générale des étudiants libres (UGEL) a rendu public, dimanche, un communiqué dans lequel elle stigmatise la « séquestration d'un étudiant qui a osé dénoncer la fermeture de certaines classes de l'institut d'éducation physique et sportive ». La victime, A.B, a été, selon elle, « giflée et retenue pendant 20 mn, lui causant un sérieux préjudice moral à la veille des examens ». Cela est interprété comme une volonté de « museler » la représentation des étudiants au sein de cet établissement. L'UGEL interpelle le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour mettre fin à ces agissements qui nuisent, d'après elle, à la réputation de l'université et repose le problème de la violence dans le campus. Arrestation de malfaiteurs Les éléments de la 2e Sûreté urbaine de Lala Aouda, dans la banlieue de Chlef, ont réussi, ces derniers jours, à mettre hors d'état de nuire un groupe de malfaiteurs qui semait la terreur dans la région. Composé de plusieurs éléments, le réseau a à son actif une série de vols et d‘agressions commis sur des habitants, des passants et des commerçants. Déférés devant le tribunal, ils ont été placés sous mandat de dépôt par le magistrat. La nouvelle de leur arrestation a provoqué un profond soulagement au sein de la population. Faible production halieutique La montée vertigineuse du prix des poissons (240 DA pour la sardine) est mise sur le compte de la rareté de cette ressource au large de la côte chélifienne qui s'étend pourtant sur 120 km. L'explication des pêcheurs est cependant loin d'être convaincante aux yeux des consommateurs et spécialistes concernés, qui estiment que la raison principale tient au fait que le secteur est sous-développé et ne parvient guère à dépasser son niveau habituel de production qui s'élève à 8 000 tonnes/an, toutes espèces confondues. Le programme de relance tant vanté par les autorités ne semble pas avoir produit l'effet escompté.