«Cet assassinat ne trouve son explication que dans le fait que l'auteur et le commanditaire de ce crime ont peur de la lumière du droit et qu'ils refusent que les Algériens vivent en paix dans un Etat de droit respectueux des principes démocratiques et des droits de l'homme, car le défunt Youcef a appelé à respecter et à enraciner ces principes», lit-on dans le communiqué signé par Boudjemaâ Ghechir, président de la LADH. Ce dernier regrette qu'en ce triste anniversaire, les journalistes soient toujours confrontés aux difficultés avec la justice, que le champ politique soit toujours fermé et que la justice peine à être indépendante. La LADH réitère sa revendication de faire du 18 juin la journée nationale des droits de l'homme.