Traduites en justice pour des dégradations qu'elles soutiennent ne pas avoir commises, 4 étudiantes, pour la plupart militantes de l'UGEL, ont été acquittées par le tribunal de Mostaganem. C'est suite à un dépôt de plainte émanant des services des œuvres universitaires que ces résidentes de la cité des 1500 lits ont été traduites en justice. Accusées de dégradation de biens d'autrui, ces étudiantes ont toutes clamé leur innocence, arguant qu'au moment des faits – c'était durant les nombreuses protestas du mois de novembre dernier –, elles étaient au niveau du resto « U ». La surprise viendra de la partie civile qui, durant l'audience, fera part de sa décision de retirer la plainte. Chez les responsable de l'UGEL, l'espoir de voir les autres affaires pendantes au niveau des tribunaux – qui concerneraient pas moins de 15 étudiants, dont 5 jeunes filles –, se conclure par un retrait unilatéral de l'ensemble des plaintes de la part de l'administration des œuvres universitaires mais également de la part de responsable universitaires.