Il s'agit des directions techniques et de l'APC concernée, à savoir Ouargla. A remarquer tout de même que l'élargissement à Rouissat n'a pas impliqué l'invitation de son maire pour cette première présentation. Un rappel pédagogique relatif au schéma de modélisation et à l'objectif de ce système a souligné que l'objectif est la modernisation des outils de gestion de la ville avec pour finalité le service rendu au citoyen. Ainsi, après six mois de consultations et d'études, les représentants du bureau d'études algéro-sud-africain GME chargé de l'élaboration du SIG affirment que le diagnostic est clair. Les sept «erreurs» de Ouargla La ville de Ouargla ne peut pas bénéficier d'une gestion rationnelle à cause de sept obstacles. En premier lieu, l'absence d'information et de cartographie, des données non homogènes, un problème de circulation de l'information, l'absence de protocole d'échange de données (sauf procédure administrative), l'impossibilité de localiser et de croiser les thématiques cartographiques et enfin le manque d'interopérabilité des données. Dès l'intitulé de la première phase, l'assistance comprendra que le SIG, l'architecture du système d'information géographique de Ouargla, veut améliorer le processus de prise de décision en matière de planification et de réalisation des projets communaux, notamment les équipements de base, la réhabilitation des quartiers, la création d'espaces verts, l'amélioration du cadre urbain et du niveau de fonctionnalité de la ville. Les thèmes retenus par le SIG La modélisation comporte donc huit modules qui vont de l'urbanisme aux réseaux divers, données socioéconomiques, projets, transport et circulation, routes et voirie, cadastre et environnement urbain. A noter que cette première phase est soumise à enrichissement durant dix jours, les révisions seront effectives dans un mois et le SIG complet dûment approuvé par le ministère chargé de la Ville en juin 2007, annoncera le wali de Ouargla. Pour rappel, Ouargla fait partie d'un premier lot de quatre villes pilotes sélectionnées par le ministère en question pour la mise en place d'un SIG, à savoir Ouargla, Sétif, Mostaganem et Béjaïa.
