Risques cardiovasculaires : Formation médicale pour les spécialistes Quelque 300 spécialistes des corps professoral ou médical ont pris part jeudi à l'Hôtel Sheraton à une formation médicale continue initiée par le Laboratoire pharmaceutique « BIOPHARM » sur les risques des accidents cardiovasculaires, la prévention et le traitement. Cette manifestation scientifique, sous le thème « Lastatine : Pour une protection cardiovasculaire optimale » a permis, outre le programme des communications scientifiques aux responsables du laboratoire implanté à Alger, de présenter aux professionnels de la santé publique le nouveau médicament pour le traitement des maladies cardiovasculaires. Dans sa communication sur les facteurs de risques cardiovasculaires, le professeur Chentir a indiqué que « le risque cardiovasculaire est un modèle biomédical qui ne tient pas compte du contexte social du sujet qui fait face au diabète, au tabagisme à l'hypertension ou le vieillissement, entre autres ». SMA : Un nouveau commissaire de wilaya M. Benmessaoud Bouabdellah a été élu en qualité de nouveau commissaire de wilaya des SMA (Scouts Musulmans Algériens) par l'Assemblée Générale Elective des cadres locaux du mouvement. Les travaux de celle-ci, qui ont eu pour cadre le Musée National du Moudjahed, ont été présidés par le premier responsable des SMA, M. Nourredine Benbrahma. Il a, lors de son intervention, exposé les grandes lignes du programme d'action pour 2009 qui accorde une place importante à la restructuration et au renouvellement des structures du mouvement à travers plusieurs wilayas tout en en rappelant le rôle qu'occupe Oran dans le développement du scoutisme. Protection Maternelle et Infantile (PMI) : Manque de vaccins dans des structures de soins Un manque de vaccins pour les nourrissons a été constaté à travers des centres de soins de proximité ou dans les services de la PMI. Il s'agit des vaccins de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche (DTC), qui sont administrés aux nourrissons dès le troisième mois. Selon certains responsables de ces centres, il s'agit d'une rupture de stock avec un retard dans les livraisons des doses à partir de la Pharmacie Centrale d'Alger. D'autre part, certains malades, obligés de faire des analyses dans des laboratoires du secteur de la santé publique, se sont vu refuser ces prélèvements en raison du manque de tubes.