Feriel Salhi que le Tribunal arbitral du sport (TAS Alger) a rétabli dans ses droits de présidente de la Fédération d'escrime (FAE), après l'élection d'un nouveau président à la tête de la fédération, s'est élevée contre ce qu'elle qualifie « de grave violation commise par ceux qui se sont opposés au déroulement de l'AGE du COA prévue le 30 avril. Le plus grave c'est que l'actuelle Fédération d'escrime qui n'est pas reconnue par le TAS a signé une pétition en mon nom. Les revendicateurs sont les premiers à bafouer la décision de la justice rendue par le TAS. Ceci démontre l'énième coup de force perpétré par la FAE », s'emporte Feriel Salhi candidate au poste exécutif du COA et membre de l'exécutif en sein de la Fédération internationale (FIE). Et de préciser : « Il y avait seulement 18 fédérations réunies à l'ISTS et non pas 42 ». Selon elle, « c'est la meilleure tribune pour changer les choses, et non dans les coulisses ».