L'Office de promotion et de gestion immobilière de Bouira réagissant à l'article publié dans notre édition du mercredi 6 mai 2009 sous le titre « Des veilleurs de nuit en colère », apporte les précisions suivantes : Les travailleurs dont il est question exerçaient certes la fonction de gardien, non pas au niveau des chantiers de réalisation de projets de logements, comme indiqué dans l'article, mais assuraient le gardiennage des logements achevés en attente d'attribution à travers plusieurs sites. Sur ce point, il n'y a aucune confusion à faire. Le contrat de travail à durée déterminée précisait que la rupture de la relation de travail interviendrait soit à la date d'attribution des logements sous gardiennage, soit au moment du transfert de cette activité à une entreprise spécialisée en la matière. D'autres part, et dans le cadre de l'externalisation de ses activités annexes, l'OPGI de Bouira a confié par voie d'appel d'offres, le contrat de gardiennage de logements en attente d'attribution à une entreprise publique à qui revient le droit de recruter, par le biais de l'ANEM, ses propres agents chargés du gardiennage.