Le sol est boueux, les escaliers crasseux et très étroits et les issues de secours sont une autre paire de manche : l'une des sorties principales (située en face de la Cacobath) est « ornée» par un amas d'immondices, véritable vivier de moustiques et de rongeurs. Les vendeurs y jettent quotidiennement leurs ordures, lesquelles dégagent des odeurs nauséabondes, rendant l'air irrespirable. En plus des problèmes d'hygiène, le mauvais éclairage est l'autre «tare», tout comme le non-respect des espaces réservés à la vente, car malgré l'existence de locaux destinés aux commerçants, certains n'hésitent pas à étaler leurs marchandises au niveau des passages, générant une entrave à la circulation, au vu du nombres important de visiteurs. A l'extérieur du marché, la situation n'est guère meilleure. En dépit de la transformation d'une partie du trottoir en parking, afin de réduire l'embouteillage, le problème persiste, notamment à partir de 16 h. Inauguré le 28 janvier 2001, ce lieu n'a de marché que le nom, et rien n'augure de changements, les choses ayant toujours été ainsi.