– Comment est née l'idée de mettre l'émission, et ta chronique en particulier en podcasts téléchargeables ? Un concours de circonstances. L'idée est née de manière fortuite, nous étions une petite bande de jeunes qui venait de mettre un pied à la radio, et la production nous a proposé d'intégrer le nouveau magazine culturel «Vivre ensemble» de Maya Zerrouki pour en faire un spécial «djeun's».Chaque profil psychologique a été étudié afin d'adapter la personnalité de chacun à l'émission. Il se trouve que j'étais le scientifique du groupe. – L'idée d'une chronique scientifique vulgarisée n'est pas sans rappeler «C'est pas sorcier»… Oui, je voulais faire une sorte de «C'est pas sorcier» à l'algérienne. Le challenge était de véhiculer l'information de manière ludique, avec des mots simples, tout en essayant d' «algérianiser», ne serait-ce que par des petites voix aiguës en dialectal. Et puis, contrairement à «C'est pas sorcier», le défi était double, puisqu'il fallait faire dans la simplicité, sans forcément passer par l'image. Ce qui rejoint un peu le slogan d'Alger Chaîne III «Des images qui s'écoutent». – Quels sont les changements et innovations qui seront introduits pour la deuxième saison en septembre ? Dès le départ, l'émission a suivi une évolution spontanée due au feeling, rien n'a vraiment été calculé. Chacun a pris ses marques puis proposé ses idées. Donc, les changements éventuels ne sont pas encore connus, mais il est possible que l'on fasse un peu plus dans le divertissement. Le lien du groupe Facebook de l'émission : http://www.facebook.com/home.php?#!/posted.php?id=148470696709