Bir Abdallah : Cinq blessés dans un accident de la route Un accident de la circulation, survenu avant-hier matin au lieudit Bir Abdallah, à une dizaine de kilomètres à l'ouest de la ville d'El Eulma, sur la RN 5 près de l'intersection Guedjel-Sétif-El Eulma, a fait 5 blessés dont deux graves. Les victimes sont de la même famille. Selon des témoins oculaires, l'accident a été provoqué par le dérapage de leur véhicule, une Renault Sénic, qui a fait plusieurs tonneaux.
Aïn Azel : Un collégien impliqué dans une affaire de drogue La police judiciaire de la sûreté de la daïra de Aïn Azel a arrêté B.A., âgé de 15 ans, un collégien du CEM Bouhafs Mabrouk, pour commercialisation de drogue. Son arrestation a été rendue possible grâce aux investigations des éléments de ladite brigade, qui avaient intercepté deux mineurs, B. A., et S. I., âgés respectivement de 16 et 14 ans, fumant des joints à l'intérieur de l'établissement. L'adolescent mis en cause a été présenté devant le juge des mineurs près le tribunal de Aïn Oulmène, qui a ordonné son placement dans un centre de rééducation pour mineur. Les deux autres adolescents ont été relâchés. Babors : 15 MDA pour le revêtement des routes El Dhaâfa, un douar dans la commune de Babors, où habitent 50 familles, se trouve dans l'isolement total. Le seul chemin qui le relie au chef-lieu de commune, à 1,5 km, est en piteux état. Une enveloppe de 15 MDA (millions) a été allouée à cet effet. Les villages de Lekhdhara et Maherki ont bénéficié de 10 MDA pour le revêtement du chemin reliant leurs localités au chef-lieu de commune, également sur une distance de 1,5 km. Notons, par ailleurs, que le problème des routes touche, outre Babors et Serdj El Ghoul, les principales localités de la daïra. Aïn Roua : Couverture sanitaire insuffisante La population de la commune de Aïn Roua, située à 32 km au nord de la wilaya de Sétif, s'indigne de l'état dans lequel se trouve son centre de santé. Ce dernier manque des équipements les plus élémentaires. Après 17h, le service des urgences est fermé. L'on enregistre une grave carence en médecins de garde, surtout ceux spécialisés en gynécologie. Les citoyens sont contraints, la mort dans l'âme, de parcourir 12 km vers Bougaâ pour se faire soigner. Face à cette situation, ils sollicitent les autorités locales pour que soit améliorée la couverture sanitaire dans cette partie de la région.