Pas de zalabia à Baraki Les jeûneurs déplorent l'absence, en ce début de Ramadhan, de zalabia. Les citadins ne trouvent aucun espace de vente dans toute la ville de Baraki, qui était dans le passé le second marché de l'Algérois.après Boufarik Les familles sont étonnées quant à la fermeture sans préavis de locaux connus pour la fabrication de ce genre de confiserie traditionnelle. Certains fabricants ont changé de vocation .La vente de jus de citron en sachets de 25DA est l'alternative constatée au centre-ville et aux quartiers peuplés. Seulement trois pâtissiers sur une dizaine, exercent pendant ce mois et reçoivent moins de clients, selon l'un d'entre eux situé près de la place centrale. Irremplaçable,la zalabia est ramenée de Raïs ou d'El Harrach. De nombreux citoyens se déplacent dans l'après-midi en quête de ce produit aimé des adultes et des enfants. Pour beaucoup de familles démunis, le kalbellouz est cher et elles ne pensent guère à acheter des dattes à plus de 300 DA le kilo quoique de qualité un peu médiocre. Fuite d'eau à Bab el oued Depuis quelques semaines, les ménages renouent avec les jerrycans et autres accessoires de puisage. En effet, les coupures d'eau, dans certains quartiers de la capitale, sont devenues fréquentes, tandis que les canalisations d'AEP qui laissent échapper des fuites d'eau sont relevées ici et là ! C'est le cas de la fuite d'eau, maintes fois réparée pourtant, au niveau de la rue Omar-Benaïssa, (n°56), mais la denrée précieuse coule toujours à perte. L'on s'interroge dès lors sur la mission des brigades de la Seaal censées sillonner les cités pour repérer les fuites d'eau et autres dysfonctionnements sur le réseau AEP … à Aïn Naâdja Les habitants de la cité 27 Logements Sefsaf, à Aïn Naâdja, s'indignent d'une fuite d'eau constatée dans leur quartier. Les résidants dénoncent l'inaction des autorités et des services de Seaal contactés. « L'eau se perd dans la nature alors que des habitants n'en bénéficient pas tous les jours », relèvent nos interlocuteurs.