« Très tard dans la nuit de dimanche, quelqu'un m'a appelé pour me menacer. Il m'a demandé de ne plus m'intéresser aux dossiers de corruption et de détournement de fonciers », nous a affirmé ce dimanche 22 décembre Halim Feddal. Il ajoute que « ce n'est pas la première fois ». Mais cette fois-ci, M. Feddal a décidé de porter plainte au niveau du commissariat de Chlef, sa ville de résidence. Notons que l'ANLC accueille des dénonciateurs de corruption pour l'élaboration de dossiers. Parmi ces affaires, des noms de responsables sont cités.