à défaut de ce moyen indispensable dans la vie quotidienne des villageois, une partie considérable de ces derniers se trouve contrainte de parcourir pédestrement des distances très importantes. C'est le cas des habitants, notamment, des villages Akentas, Iguer Ali, Iadnanene et Ait Ounir qui endurent de sérieuses difficultés pour arriver aux arrêts de bus pour les uns, et se rendre au chef-lieu communal pour les autres. «L'idée de créer des lignes de transport inter villages au niveau de notre commune, qui connaît d'ailleurs une extension croissante, pourrait bien servir pas mal d'habitants. A mon avis, l'ouverture de trois lignes desservant le lycée de Mezrirou, Akentas et Imellahene, à partir de Feraoun centre est plus qu'indispensable», estime Mokrane, un habitant d'Ait Ounir. Notons qu'en raison de l'absence de bus assurant le transport inter villages, les habitants des villages précités se trouvent souvent obligés de prendre les bus desservant les villes d'Amizour et de Béjaïa, ce qui provoque souvent des désagréments aussi bien pour les transporteurs que pour les voyageurs.