Longeant sur des dizaines de mètres deux établissements scolaires (CEM Kaddoum Othmane et lycée Taha Hussein) y compris les logements y attenant, le trottoir, défoncé depuis presque une année suite à la pose de la canalisation du gaz de ville, semble avoir été oublié. « Qu'est-ce qu'ils attendent pour réparer ce trottoir ? », se demandent les citoyens empruntant cette artère où siègent d'autres institutions publiques (poste, banques et autres directions). Le plus frappant, c'est le fait que, de l'autre côté de la chaussée, des trottoirs tout neufs viennent d'être réalisés par l'APC dans le cadre de l'aménagement urbain. Cette dernière, contactée, selon le directeur d'un des établissements, aurait répondu que la remise en état de ce trottoir incombe à l'entreprise qui a procédé à la pose de la canalisation. Approché, le DMI, en tant que maître d'ouvrage du projet gaz de ville, déclare que l'entreprise avait d'autres travaux et que la remise en état de ce trottoir est programmée.