La JSMT a-t-elle les chances de terminer la saison dans le lot des prétendants à l'accession, vu son parcours en dents de scie ? La réponse coule de source tant les moyens financiers mis par le patron du groupe GBS suffisent largement à mettre l'équipe dans la peau d'un des sept favoris. Il y a, disent dépités certains qui suivent le parcours des Bleus, « de la triche quelque part », voire « des influences extra-sportives négatives ». La conséquence a été une fois de plus compromettante pour l'avenir immédiat du club et de ses objectifs largement à sa portée. L'entraîneur Benamar qui disait « jouer l'accession largement dans les cordes » se rebiffe et a jeté l'éponge. D'autres toujours sous le sceau de l'anonymat disent que son départ a été indirectement voulu par une partie des joueurs. Pour quelles raisons ? Nul ne le sait d'autant que son remplacement par Mohamed Kaddaoui laisse toujours planer ce doute en dépit d'une récolte honorable. 7 points sur les douze dont deux victoires précieuses à domicile face au GCM et à l'IST. Benamar nous a promis un rapport détaillé mais a tourné la page. Beaucoup d'autres gens se disant « peinés par la situation du club » ne font pas beaucoup pour atténuer les appréhensions en dépit de la tolérance de leur présence dans l'entourage du club pour aider le directoire. Rien n'est encore joué certes. Kaddaoui, le nouveau coach, donne espoir en disant « œuvrer pour terminer dans le lot des cinq premiers », mais la dernière défaite des Bleus face à El Bordj a remis au gout du jour cette hantise qui guette la maison « Ezzerga ». Hadj Aissa Belhocine, le président du directoire attend le retour de l'entraîneur pour discuter le relookage du club. Opération qui passe irrémédiablement par la promotion d'au moins neuf juniors dans l'équipe sénior et libérer, par là même, sous conditions, des joueurs.