Un jeune homme de la wilaya de Béjaïa qui souhaite investir dans le transport public de marchandises ne sait plus à quel saint se vouer après la mésaventure qu'il vient de vivre. Hacène Sebkhi, s'est adressé à l'Agence nationale pour le développement de l'investissement pour bénéficier de son régime. En se présentant au niveau de ce guichet unique avec le dossier qu'il croit complet, on lui demande alors de ramener une photocopie du registre de commerce pour pouvoir accéder aux facilités accordées par l'ANDI. Prenant son mal en patience, le jeune homme se présentera, cette fois-ci, à la chambre du commerce et de l'industrie pour avoir le fameux document. Mais c'est sans compter sur la bureaucratie algérienne qui a encore fait des siennes. Le concerné se verra, en effet, exiger une attestation délivrée par la direction des transports de la wilaya de Béjaïa. Hacène ira donc voir cet organisme dans l'espoir de compléter son dossier et de pouvoir ainsi commencer à travailler. En toute réponse, il recevra une correspondance qui lui notifie un refus sans aucune explication. Le jeune homme voit tout son rêve s'effondrer et ne sait plus à qui s'adresser. Il ne comprend pas pourquoi on lui refuse l'attestation alors que d'autres dans sa situation ont pu se la procurer avec une facilité déconcertante.