En réponse au vœu des notables de la commune d'Aïn-Dheb « d'apaiser la tension et taire les dissensions au sein de l'assemblée communale », les élus réfractaires remontent au créneau en parlant de « manœuvres de ceux qui se taisaient devant l'arbitraire ». La situation reste donc toujours conflictuelle dans cette contrée steppique où le développement reste pourtant perceptible. La crise qui secoue les travées de l'APC reste différemment interprétée et les pouvoirs publics, si l'on croit certaines sources, « tentent d'y remédier » tout en ayant l'œil sur tout ce qui concerne la conduite des affaires. Les six élus indociles dans leur quête de déboulonner le maire, monsieur Hadj Mohamed Miloudi d'obédience FLN, n'ont pas trouvé pour l'heure une oreille attentive à leurs sollicitations. Le blocage, même s'il est psychologique, reste bien réel.