Dans le cadre de l'Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l'homme et Solidar, ces ONG avaient salué cette résolution, appelant notamment les autorités algériennes à «assurer la sûreté et la sécurité des militants de la société civile et des défenseurs des droits de l'homme ainsi que leur liberté à poursuivre leurs activités pacifiques légitimes». «Depuis lors, nous interpelons régulièrement les autorités algériennes et européennes à s'assurer de la mise en œuvre des recommandations émises par cette résolution. Mais face à une situation qui se détériore, un an après, nous aimerions obtenir de la part des autorités européennes des informations sur les mesures concrètes prises par l'Union européenne pour mettre en œuvre ces recommandations», déclarent les ONG qui ont adressé des courriers à Federica Mogherini, haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, à et à Martin Schultz, président du Parlement européen.