Beaucoup d'encre et de salive ont coulé à propos des 40 logements socio- participatifs sis à Aïn Beïda, à la sortie sud-ouest. Les souscripteurs qui se sont acquittés de leur quote-part ont été surpris quand le promoteur du projet, en l'occurrence l'OPGI, leur a fait savoir que le terrain sur lequel a été implanté le projet est la propriété de la CNEP. D'où sa mise en hypothèque. Le directeur général, Nabil Yahiaoui, a soulevé le problème en haut lieu et obtenu gain de cause au profit des 40 souscripteurs. Toutefois, pour obtenir la main levée de la CNEP, il faudra verser, par le biais d'un notaire, la part restante à l'organisme propriétaire du terrain. Tout souscripteur qui dépose son dû reçoit un acte administratif, et ce avant la fin du mois en cours. La nouvelle a été accueillie avec un grand soulagement par tous les souscripteurs. A signaler que le taux d'avancement des travaux a atteint les 90%.