Faut-il rappeler que la ville de Aïn Beïda qui compte environ 120 000 habitants a été toujours confrontée à des pénuries répétitives du précieux liquide qu'est l'eau potable ? En tous les cas, la ville des Haractas a, depuis des lustres, souffert du manque d'eau, particulièrement en période caniculaire. Néanmoins, avec l'apport que constitue l'eau du barrage de Aïn Dalia (Souk Ahras), la ville est mieux approvisionnée, été comme hiver. Même la répartition du précieux liquide se fait de manière équitable entre les différents quartiers de la ville. On en convient que la gestion des eaux s'effectue de façon rationnelle, chose qui a conduit la coordination des associations de quartier à manifester sa reconnaissance aux nouveaux responsables du secteur, à travers une correspondance, dont nous avons une copie. Il y est écrit notamment, en guise de conclusion : « Sous l'impulsion des nouveaux responsables, la gestion et l'organigramme mis en place ont été accueillis avec soulagement par les citoyens. » Ce qu'il faut espérer néanmoins, et ce, grâce au renouvellement des nappes phréatiques, suite aux généreuses pluies des deux dernières années, c'est que l'approvisionnement en eau soit maintenu même en été. Car Aïn Beïda a toujours souffert en période caniculaire du manque d'eau. Stop aux chauffards ! Ne cherchons plus ! Ceux qui provoquent le plus d'accidents, surtout sur la RN10, entre Meskiana et Aïn Beïda, sont désormais identifiés. Il s'agit des chauffeurs de véhicules chargés de pâtes alimentaires, ramenées de Tébessa et écoulées dans les marchés de Aïn Beïda, Oum El Bouaghi et Constantine. Ces chauffards qui n'ont peur de rien appuient sur le champignon sans se soucier de personne. Récemment, sur cette même route, un véhicule de marque Renault 20, en voulant doubler a percuté un camion et c'est le drame. On a dénombré deux blessés, en l'occurrence le conducteur de la Renault 20 et son compagnon. D'autres accidents similaires se sont produits sur ce même tronçon, toujours causés par les conducteurs de véhicules chargés de pâtes alimentaires. A quand la fin ?