Outre les taxis, dont la plupart ferment les yeux sur les mesures sanitaires, les chauffeurs de bus, privés, étatiques ou ceux des étudiants continuent à travailler comme en temps normal. Si on est arrêté devant un barrage de police, vous leur dites qu'on est une famille». Telle est l'orientation donnée par un chauffeur de taxi à ses clientes afin de justifier la surcharge de son véhicule en ces temps d'épidémie de coronavirus. A Alger, des transporteurs continuent d'ignorer le protocole sanitaire exigé pour faire face à la propagation de la Covid-19. Outre les taxis, dont la plupart ferment les yeux sur les mesures sanitaires, les chauffeurs de bus, privés, étatiques ou ceux des étudiants continuent à travailler comme en temps normal. Advertisements