A quelques semaines de la rentrée scolaire, Abdelhakim Belabed, ministre de l'Education nationale, rencontrera ses partenaires sociaux demain, après avoir réuni, hier, les représentants des associations des parents d'élèves. La rencontre est dépourvue d'un ordre du jour. «C'est devenu une routine. Dès qu'un nouveau ministre est installé, il commence par la rencontre des syndicats et différentes organisations relevant de son secteur. Pourquoi faire ? Personne ne sait. La preuve, le courrier envoyé aux 24 syndicats est dépourvu d'un ordre du jour. Nous n'allons pas assister juste pour cautionner des décisions auxquelles nous n'avons pas été associés», déclare Boualem Amoura, secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef) qui annonce que son syndicat décline l'invitation de ce lundi. *Retrouvez l'intégralité de nos articles sur la version papier Advertisements