C'est dans sa galerie, implantée à Kouba depuis la fin 2003, que Mme Ouahiba Adjali nous a reçus. Un local maculé de blanc, « vêtu » de tableaux, animés de sculptures et d'écrivains. Un environnement qui rythme son quotidien de galeriste. L'art reste une forme de liberté, ne pensez-vous pas ? Certainement. Arts en Liberté insiste essentiellement sur la nécessité de la liberté dans l'acte artistique pour une évolution et un épanouissement sans contraintes. Avez-vous eu un retentissement à votre écho ? Les médias nous couvrent régulièrement, même de l'étranger. Le public nous le rend bien aussi. Son engouement nous aide à notre démarche de défense de l'art. Quelles sont les activités de la galerie ? Nous organisons des récitals poétiques, des journées d'arts plastiques d'enfants, des animations musicales. Nous avons créé aussi le cercle des Amis des Arts en liberté : espace d'expression et d'échange informel. Vous semblez zen, quelle en est la raison ? Je nage dans le bonheur. J'ai la chance d'accomplir ce qui me tient à cœur, et c'est amplement suffisant.
