Les habitants des rues Belkacem Touati et Mohamed Ben Zadi, dans une correspondance transmise à notre rédaction, et dont des copies ont été adressées au ministère des Transports, à l'APC d'Hussein Dey, au chef de daïra et à la gendarmerie de la même localité, se sont élevés contre les « les chauffeurs de taxis clandestins qui occupent l'intersection des deux rues se trouvant face à l'entrée de l'hôpital Parnet ». Cette situation, qui dure depuis longtemps, a provoqué, selon les requérants, beaucoup d'embarras aux habitants de ces lieux. Ces derniers se disent « prêts à en découdre avec les intrus et se faire justice eux- même » si, ont-ils ajouté, « les autorités compétentes ne daignent pas répondre à leurs doléances ». Cette situation est à l'origine de nombreuses gênes. Elles vont du stationnement anarchique, qui incommode et bloque l'accès à l'entrée des immeubles, à l'insalubrité en passant par l'insécurité et le vacarme. Pis, ont-ils noté dans leur requête, « ces clandestins ne se gênent aucunement de mener la vie dure aux femmes et aux filles du quartier ». Ces dernières sont, selon notre source, constamment dans l'obligation de faire des détours pour rejoindre leur demeure.