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Hôpital, quelle est ta santé ? (1ère)
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Publié dans El Watan le 12 - 09 - 2010

La corruption étant un fléau universel irréversible, personne ne peut empêcher son institutionnalisation parce qu'elle s'est internationalisée sous le couvert de la mondialisation
L'hôpital, en tant qu'être vivant, semble souffrir d'un prolapsus administratif et d'un collapsus médical. Les défaillances physiologiques sont d'autant plus irréversibles qu'elles résultent de transformations organiques absurdes. Les anciens hospitaliers sont convaincus que l'hosto n'aura jamais sa santé tant que sa médecine est bureaucratisée et son administration médicalisée. Pour ces vieux militants de la santé publique, le courant socialisant s'est estompé dans les années 1980 pour laisser s'opérer ce diabolique passage de la médecine dite de santé à une prétendue médecine de pathologie.
Cette évolution aux sombres reflets a fait de la gestion administrative un divertissement pascalien. Mais qu'est-ce donc une réforme hospitalière qui n'inscrit pas l'hôpital dans une perspective de développement continu basé sur des fondements de précaution, de collaboration et de synergie ? Ces derniers temps, les patients ressentent les peines de cette grande maison de «vie» à travers l'indifférence à laquelle ils se heurtent. Ils considèrent que leurs souffrances et celles de l'établissement ont pour cause le dédain des mandarins dont l'arrogance est ravitaillée par l'incohérente des textes.
L'infarctus sanitaire
Sans vouloir glorifier le passé pour affirmer l'infarctus sanitaire dû à l'ischémie des centres de décision, il faut prendre la rade de l'histoire et dériver avec le stéthoscope au large du système de santé. Il faut également ramer à coups d'interrogations à l'envers du temps et voguer au gré des ondes nostalgiques pour savoir où sont passés les gestionnaires formés sur le tas, qui, même sans diplômes universitaires, étaient d'une compétence édifiante et d'un comportement exemplaire.
L'amour de la profession les poussait à parfaire en permanence leurs connaissances. Ils se rendaient aux séminaires où se confrontaient les expériences d'ordonnateurs distingués pour entretenir leur persévérance. Ces hommes étaient élevés dans le culte de la culture hospitalière, de la sacralisation du malade et la crainte de Dieu. Ils avaient à cœur la crédibilité de la maison que l'involution civique a décriée et que la conduite compulsive des arrivistes a déconcertée. Il est donc vital de repasser les plis de la mémoire au courant mnémonique pour rappeler le cas de ces cadres qui passaient les 365 jours de l'année à faire des comptes d'apothicaire et à glaner ici et là les fonds indispensables au fonctionnement de leurs établissements. Ils faisaient des économies de bouts de chandelle pour arriver à boucler leur exercice budgétaire, et sans créance. Ils savaient qu'aucun crédit en dépense n'était ouvert s'il n'était balancé par une recette équivalente, étant donné que toute nouvelle recette devait forcément être justifiée. Ils étaient allergiques à la somptuosité et menaient une lutte draconienne contre le gaspillage sous toutes ses formes.
Pour ces gestionnaires, les priorités étaient l'optimisation de la qualité de la prise en charge des malades, par tous les moyens légaux, ainsi que la maximisation de l'emploi des équipements acquis au prix de grands sacrifices. Même le recours à l'amortissement de ces équipements (en tant qu'opération qui consiste à répartir dans le temps le coût d'un actif immobilisé) était rationnellement étudié. Certes, les longues expériences leur ont permis d'avoir un esprit d'immunisation contre les variations brutales du marché.
Les économes, pour leur part et par leur disposition naturelle à l'ordre ménager et à la vigilance, ont su maîtriser la subtilité des textes financiers et éviter leur interprétation sournoise. Ils ont, durant des siècles, veillé au bel être de la maison de santé et au réconfort de ses hôtes, jusqu'à l'avènement des sciences économiques pour que soit réhabilité leur rôle d'économe (et d'intendant).
C'est grâce à leur grandeur et leurs servitudes qu'ils sont arrivés à faire de leur fonction une mission essentielle des collectivités, qui, jadis, devaient répondre aux trois besoins que sont nourrir, vêtir et équiper. Cependant, l'économe était quelque peu mal aimé pour sa rigueur «parcimonieuse» et pour sa générosité de gendarme. Il était en permanence contraint d'analyser (ce qui convient d' appeler) la vérité de police et de veiller à sa sérénité pour d'éviter l'évidence du ridicule.
Dans un passé récent, le budget était octroyé en milliards par l'Etat qui s'embusquait derrière de minables virgules et scrutait, avec une curiosité de spéculum, les comptes en quête de centime fallacieusement dépensé. Il était recommandé à ses inspecteurs d'orienter soigneusement le scialytique sur les registres et fouiller minutieusement tous les comptes. Il leur était demandé de mettre les chiffres sous microscope pour rechercher, par une opération chirurgicale, les faux frais devant engager la culpabilité de leurs auteurs. Dans le temps, ces contrôleurs étaient des experts qui connaissaient parfaitement leur fonction de trésoriers (telle que conçue par Necker). Leur éthique commençait dans le sérieux avec lequel ils concilient l'impératif de soigner mieux et la responsabilité d'engager l'argent public. Il était, dans ce sens, un devoir d'évincer ceux qui souffrent d'orgie d'apparat et de punir quiconque abusait des biens d'autrui et engageait des dépenses inopportunes. Jadis, le citoyen était pénétré d'un souci d'évolution perpétuelle au service de la société car le salut de son hôpital (structure salvatrice) résidait dans la rigueur de la gestion.
Aussi, comment ne pas exalter ce temps et comment ne pas chercher à savoir où sont passés ces cadres qui favorisaient la parole antalgique, l'accueil chaleureux, l'hygiène rigoureuse, l'alimentation équilibrée, le repos réparateur, l'assistance médicale sécurisée et l'accompagnement réconfortant des mourants ?
Impéritie et prépotence
Les cadres se définissent par leur compétence plutôt que par leur commandement et par leur profession que par leur place dans l'organisation. En un mot, les professionnels sont liés à la conscience constituante et les institutions se caractérisent par le type de leur organisation (coercitive, instrumentale, intégratrice ou représentative). Il faut bien convenir que l'administration hospitalière endure la volonté des groupes totémiques, dont la compétence est parfois taillée dans la perfidie.
Actuellement, son pouvoir est annihilé par un métabolisme incommodant où l'impéritie manifeste montre une orchestration diabolique de la prépotence qui enferme tous les professionnels dans une contingence infernale. En effet, ignorance et arrogance ne riment pas seulement (comme disait J Sternberg), ils vont souvent de pair. D'ailleurs, l'agonie du système de santé vient de cette médiocrité qui combine la cohésion tribale et tout le monde s'accorde à dire que la gestion d'un hôpital ne doit pas être un jeu pour amuser les suppôts d'un tel système qui érigent les futilités en concept. Il y a des régisseurs qui sont portés sur le gaspillage despotique par leurs pratiques bourgeoises de «l'hyper privilège». Ils scellent leurs carences par des bulles d'or qui font briller davantage leurs bévues et poussent l'institution au syndrome de Stockholm, où la disponibilité des moyens se heurte au manque d'initiative.
Ces «mandataires» aux idées mercantiles s'enfoncent délibérément dans le corset des contraintes pour accuser les restrictions budgétaires et amasser des dividendes sur les passations de marchés. La bride sur le cou, ils évoluent (en toute quiétude) en marge de la législation et administrent les pénuries captieuses à leur profit, en saucissonnant les transactions et en plâtrant le cahier des charges pour faire valoir le recours au gré à gré, au préjudice de l'Etat et du contribuable. La grande transparence dans la passation des marchés publics et la réelle ouverture à la concurrence ne sont que de vains mots.
Pourtant, dès le XVIe siècle, Colbert avait réglementé l'adjudication des marchés publics et l'a rendue obligatoire pour les travaux et les fournitures à faire au compte de l'Etat. Il se montrait intraitable vis-à-vis des adjudicataires qui, après des rabais trop bas, ne pouvaient tenir leurs engagements. Il les faisait saisir pour éviter le péril moral. Au bout du compte, que faut-il dire des présidents de commission qui, sûrs du déni de la réalité (en cours dans les pays sous- développés), demandent (sans gêne) aux soumissionnaires des dessous de table. Alors que d'autres cadres craignent de s'embourber dans de périlleuses polémiques, car la corruption semble avoir quelque chose d'incestueux ; puisque même le législateur la répertorie parmi les fictions juridiques et la traite selon la théorie de la faute virtuelle.
D'ailleurs, chaque ordonnateur principal annonce, dès sa prise de fonctions, son programme de chasse aux sorcières pour ne laisser, en fin de compte, que les têtes de nul prix, lorsqu'il n'est pas lui-même compromis. Car, dans le sanctuaire du droit et du dédale des lois sans esprit, la fiabilité des textes est fonction à la fois du niveau de compétences de ceux qui les pondent, des péripéties de ceux qui les appliquent et de la qualité de résistance des fusibles aux courts-circuits.
La corruption étant un fléau universel irréversible, personne ne peut empêcher son institutionnalisation parce qu'elle s'est internationalisée sous le couvert de la mondialisation. Pourtant, Rousseau se demandait déjà au XVIIIe siècle comment soigner une société si profondément atteinte qu'elle aime son mal à ne point vouloir en guérir ? La pratique de corruption représente une menace très sérieuse qui pèse sur les établissements hospitaliers, entravant l'accès aux soins, la déshumanisation de leurs prestations et la détérioration de leur qualité, la dérégulation de leur fonctionnement, la dégradation de la capacité opérationnelle des services et des plateaux techniques, la réduction de la mobilisation des ressources, d'autant plus que ce phénomène tend à se consolider par l'impunité manifeste des indélicats.
Dans ce cadre, le rapport 2006 de Transparency International révèle que plus de 3 milliards de dollars US dépensés annuellement en services de santé sont détournés par des pratiques de fraude et de corruption passive. Comment donc entreprendre l'opération d'assainissement que se propose de réaliser la tutelle dans les 270 hôpitaux que compte l'Algérie, où la corruption est de plus en plus nauséabonde ? Certes, une démarche de cette envergure, qui demande des années pour vérifier tous les comptes (lorsqu'on n'est pas contraint d'éviter d'aller à l'essentiel), ne peut se faire sans bavures.
Sans songer au mal, l'histoire des hôpitaux rappelle que l'ordonnateur a toujours été le médecin, qui, selon P. Delore (promoteur de la médecine sociale et auteur de l'hôpital humanisé) est un médecin collectif, cohésif, consensuel et humaniste, dont la mission principale est l'optimisation de la solidarité de décision (management).A l'époque, l'acte médical était couvert d'un aspect administratif qui l'authentifiait. Il faut donc «désantibiotiser» l'acte administratif pour éviter le choc anaphylactique pouvant entraîner la mort de l'hôpital.
Sans doute, l'hosto tangue sous des impératifs mal ajustés de ses donneurs d'ordres ambulants, qu'ils soient médecins ou assistants de l'administration sanitaire.
Les uns comprennent tout, mais ne savent rien, et les autres savent tout, mais ne comprennent rien. Cette double insuffisance indique le besoin impérieux de relever l'aptitude des responsables, compromise par ces médicastres doublés de «bureaupathes» qui se prennent fréquemment, les pieds dans leurs propres inepties. Ces ambitieux aux égarements morbides, atteints du syndrome shakespearien, sont à craindre pour leur incertitude d'être et aussi pour leur sincérité de caméléon (bien que la sincérité de cet animal couvre un mensonge biologique du fait qu'il a un œil sur sa proie et l'autre sur son prédateur.
L'hôpital et le bégaiement institutionnel
Par le passé, la tutelle soucieuse de son prestige garantissait les voies du progrès par une évaluation objective du dispositif de performance fondé sur le choix des hommes (choix basé sur l'étude minutieuse des compétences) pour les nominations aux postes décisifs. Cette sélection était sous-tendue par des enquêtes administratives entreprises par l'autorité judiciaire et obéissait au principe de capacité et de transparence. C'est de la sorte qu'était recherchée l'excellence en matière de gestion. N'est-ce pas pour cette raison que les inspections donnaient aux inaptes la colique du miserere ? Le principe actif qu'avait l'hôpital pour évoluer dans la logique de ses missions, s'appuyait sur l'accréditation de son système de soins, la performance de son personnel, l'efficience de ses équipements et surtout de la probité de ses gestionnaires.
Puis, comment expliquer ce phénomène qui terrifiait tous les directeurs d'origine non médicale qui avaient peur de se faire tancer vertement par voie cathodique pour leur gestion jugée curieusement non concluante par ceux dont la médecine cassait les pieds ? Ces procédés (pas droits) n'ont pas concerné le «médecin-directeur», malgré ses défaillances évidentes. Celui-ci profite bien d'une indulgence discrétionnaire ayant converti le service public en une jungle administrative. Lui qui ne fait que combler ses heures creuses en usant, bien qu'autrement, de ce fameux temps complémentaire. Son mode de gestion est fondé sur la restriction en haut et de répression en bas. Alors que squatter une direction d'hôpital choque les esprits fertiles que la conjoncture a mis en jachère par les incohérences capricieuses des opportunistes qui, pour couvrir leur inaptitude, déclarent que l'hôpital est victime de la complexité de ses missions et qu'il est impossible de gérer un établissement de plus de cinq cents lits. Ces êtres dilatés par leur impudence prolifèrent redoutablement dans ce système gavé d'abus, qui aurait besoin d'être déparasité avant qu'il ne soit réformé.
En principe, aucun changement radical ne doit être opéré en présence des têtes pleines de crise qui rusent pour pérenniser leur notoriété. Les vaniteux sont là, en quête d'élargissement ostentatoire de leur impertinence multidimensionnelle et pluridisciplinaire. C'est ce qui sidère les infirmiers, inquiète les malades et indigne le personnel administratif. Tous sont entubés par la décadence de la culture hospitalière et sont victimes de la pédagogie de la peur qui écarte l'institution de sa vocation. Les premiers s'enferment dans leurs seringues, les seconds (lanternés au motif d'une foultitude d'analyses et d'examens aux coûts exorbitants qui leur sont demandés de façon récurrente) ratent leur combientième rendez-vous et les derniers, supplantés, éprouvent la déchéance humiliante de leur marginalisation.
Les disciples de Florence Nightingale, jadis élevées aux vertus cardinales, voudraient bien inscrire leurs actes dans une démarche scientifique d'un art moral. Cet art édifiant avait attiré pour un temps Nietzsche qui avait servi dans les services sanitaires, avant de répugner le sang des champs de bataille et les gémissements des civières. Ces infirmières, puisqu'il s'agit d'elles, étaient en permanence à la recherche de l'efficience maximale de leurs prestations. Elles résistaient vaillamment aux bourdes de médicastres, par fidélité aux malades. La profession de soignant est très mal connue du public qui la limite aux injections. D'autant plus que les docteurs Falso, Morgue, Thanatos et autres frimeurs jouissent du statut mythique que leur confère une formation altérée par leurs comportements qui expriment une inadéquation entre l'instruction qu'ils ont eue et l'éducation qu'ils auraient dû avoir.

(A suivre)


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