Préparée initialement à accueillir plus de 4 000 nouveaux bacheliers, l'université des sciences et de la technologie ‘‘Med Boudiaf'' (USTO) ne recevra cette année que 1 973 étudiants affectés dans les différentes filières enseignées dans cette université, y compris les filières régionales et nationales. Ainsi et vu que la capacité d'accueil en matière de places pédagogiques disponibles à l'USTO est supérieure à la demande, les responsables de l'université d'Oran ont entrepris des démarches en vue d'utiliser l'espace pédagogique non exploité. Imminent mouvement à l'exécutif On a appris de sources concordantes que l'exécutif de wilaya vient de connaître un mouvement presque total. Ainsi, l'on saura que seuls les deux directeurs des travaux publics et de l'urbanisme ont été épargnés par le récent mouvement et ce, jusqu'à nouvel ordre. L'on fait également savoir que les changements opérés par le président de la République ont mis fin aux fonctions de certains des directeurs d'exécutif, comme il a accordé des promotions à d'autres. Par ailleurs, certaines indiscrétions parlent d'un autre mouvement imminent devant toucher les responsables des organes de la presse publique. Nouveau directeur pour El Bahia FM Selon des sources bien au fait du sujet, Fayçal Haffaf aurait été désigné à la tête de la radio locale ‘‘El Bahia FM'' en remplacement de Azzedine Benyagoub qui aurait été appelé à assurer les mêmes fonctions à la tête de la radio locale de Tlemcen. Ces nominations coïncident avec l'annonce publique, par la direction générale de la radio nationale, d'une nouvelle grille des programmes devant toucher l'ensemble des organes radiophoniques dépendant de la radio nationale. Les chiffres de Zerhouni Décidément, les responsables officiels, locaux et centraux, n'arrivent même pas à se mettrent d'accord sur les chiffres qui sont « bons à communiquer » à la presse, qu'ils soient réels ou virtuels. En marge de sa visite à Oran, mercredi dernier, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nourredine Yazid Zerhouni, a affirmé que le programme de soutien à la relance économique (PSRE) a permis la création de 75 000 emplois qui sont officiellement enregistrés au niveau des directions du travail. Sauf que ce même chiffre dépassait, lors de la dernière campagne électorale des présidentielles, les 300 000, selon un autre responsable.