L'espace faisant office de station de taxi pour les daïras de Bougaâ et Aïn El Kebira, n'est toujours pas fonctionnel. L'endroit, pourtant situé à 100 m du siège de l'APC de Sétif, n'offre aucune commodité aux voyageurs et aux chauffeurs de taxi, tancés par ces difficiles conditions de travail.» Tels sont les propos de nombreux habitués des lignes précitées. Boueux l'hiver et poussiéreux l'été, l'espace, dépourvu du moindre abri, n'a fait l'objet d'aucune réhabilitation, alors qu'il est situé au cœur de la ville ; il doit de ce fait être pris en charge, à l'instar des autres arrêts où stationnent les taxis des 20 daïras. «Les responsables de la municipalité qui rendent, de temps à autre, visite à la maison de l'enfance, située en face de la station, n'ont aucune excuse», clament en chœur voyageurs et «taxieurs», dans l'attente d'une réaction des locataires de l'hôtel de ville.
