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La tribune des parents
Publié dans El Watan le 12 - 11 - 2005

Mon fils est en 3e année primaire et sa maîtresse me convoque pour le motif qu'il n'a pas réalisé la totalité des devoirs donnés. Entre temps, elle l'a sermonné en classe et l'a humilié en le comparant au meilleur élève de la classe. Mon fils est studieux et travaille beaucoup à la maison. Ce jour-là, il n'a pas terminé ses devoirs en laissant de côté le plus difficile. Il m'a dit qu'il allait demander à sa maîtresse de le lui expliquer. Le jour de la convocation je me retrouve avec d'autres parents convoqués pour le même motif. Que doit-on faire ? De Mohamed D. (Alger)
Réponse
Que l'élève n'ait pas su répondre à la totalité des exercices exigés est tout à fait normal. Vous dites qu'il est studieux donc ce n'est pas par fainéantise qu'il a décalé sa tâche. Il est honnête : « Je vais demander à ma maîtresse de me l'expliquer ». Quelle belle confiance il a ! Cette enseignante n'a pas compris la difficulté de la tâche qu'elle a imposée à ses élèves. En premier lieu, la surcharge en devoirs de maison est nocive pour cet âge. Le fait que l'élève ait essayé et qu'il a fourni un effort aurait dû donner matière à réflexion à cette maîtresse. Dans le travail scolaire, le bon pédagogue est celui qui privilégie l'effort de son élève au résultat. On ne doit pas perdre de vue que le cycle primaire est aussi -et surtout- un lieu où s'éduque le caractère et se développent les attitudes saines à l'égard de cette valeur cardinale qu'est le travail. Il n'y a pas de travail s'il n'y a pas effort. Quant à la comparaison -à des fins d'humiliation- au meilleur élève de la classe, il s'agit là d'une grave entorse à l'éthique professionnelle. Cette dernière fonde ses valeurs sur le respect de la dignité humaine, à commencer par celle des élèves dont nous avons la charge. La première chose à entreprendre est d'aller voir sa directrice et si le comportement persiste, il y a lieu de saisir par écrit l'inspecteur de la circonscription. Cette maîtresse a besoin d'être encadrée et formée à moins que l'enseignement ne soit qu'un pis-aller pour elle. En cette période de chômage, ce refuge est bien douillet.
Quelle est la différence entre un logement d'astreinte et un logement de fonction ? Mme Fadéla B. ( Blida)
Réponse
La réponse à votre question nous a été donnée par un retraité de l'éducation qui a maille à partir avec son ancienne tutelle justement pour une question de logement. Avant 1981, « logement de fonction » était le seul vocable qui existait pour définir les logements occupés par les personnels dont le poste d'emploi imposait une présence H24 dans l'établissement (directeur, intendant, concierge, censeur, surveillant général). Après 1981, le terme « de fonction » a disparu pour être remplacé par celui « d'astreinte ». Cela veut dire que le fonctionnaire est contraint expressément d'occuper le logement d'astreinte sans aucune condition préalable. Dans le cas contraire, il risque de perdre son poste.


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