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Le calvaire au quotidien
Service de l'état civil
Publié dans El Watan le 15 - 03 - 2011

C'est la consternation, les habitants de Azzaba sont éprouvés par le sentiment de désolation face à la réalité quotidienne de se retrouver matin et soir dans d'interminables files d'attente, soit pour retirer de l'argent soit pour se faire délivrer un document administratif.
Les deux structures que sont la mairie et la poste sont devenues des lieux de souffrances pour les citoyens de tous âges. Si à l'agence postale les liquidités font défaut, au service de l'état civil, constamment pris d'assaut, les citoyens au nombre impressionnant ne trouvent pas d'issue pour sortir de cet infernal piège qui les oblige à passer une journée entière debout pour se faire établir une pièce administrative. Il arrive, et souvent même, que des administrés, après avoir passé des heures à attendre leur tour se retrouvent finalement contraints de revenir…le lendemain.
Un calvaire que vivent surtout ceux qui viennent des autres wilayas du pays pour retirer leur extrait de naissance de leur ville d'origine. Cet état de fait résulte en fin de compte de plusieurs facteurs qui contribuent à envenimer la situation, dont la bureaucratie et surtout l'accroissement démographique de la population locale, qui n'a pas été accompagné de mesures conséquentes pour soulager l'unique antenne érigée, faut-il le mentionner, au 19e siècle. Les Azzabis restent également convaincus qu'il est temps de penser à l'informatisation de l'état civil et créer d'autres antennes pour sortir de l'agonie.


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