Si dans certains quartiers, à Aïn El Hammam, on se plaint de l'absence totale de l'éclairage public, dans d'autres, les lampadaires éclairent le chemin nuit et… jour. Si encore le système d'éclairage de la «route de l'hôtel» attend sa mise en service depuis un lustre, celui de la «route d'Akkar» ne trouve même pas de main qui puisse l'éteindre dans la journée. Cette situation de paradoxes nous a été signalée il y a quelques jours par des riverains du lieudit «La côte de Akkar». Sur les lieux, l'on a constaté en effet que, depuis plusieurs jours, une dizaine de lampadaires, longeant le chemin communal reliant l'hôpital à l'ex Michelet, ne s'éteignent pas dans la journée, alors que la seconde partie de cette route plonge dans le noir dès la tombée de la nuit. Cette situation perdure depuis des mois sans que les services concernés daignent y remédier. Certains luminaires, dégradés, pendent aux fils de leurs supports et balancent au gré du vent.