-Le ministère de la Communication fonctionne sans trois directeurs centraux Plus d'une année après son installation au poste de ministre de la Communication, Nacer Mehal, peine encore à nommer des directeurs centraux.Le ministère fonctionne sans trois directeurs. Et pas des moindres. Ceux de l'audiovisuel, des affaires juridiques et de l'administration générale. Et même le directeur de la presse écrite n'est pas installé officiellement. Il est toujours intérimaire. Il est à se demander dans ce cas de figure comment le département de la Communication pourrait prendre en charge sérieusement «les chantiers de réforme du secteur engagés». Ne faudrait-il pas au préalable mettre de l'ordre dans sa maison avant de songer à réformer le secteur ? -La banque n'accepte pas les chèques... bancaires Le phénomène n'est pas nouveau mais mérite tout de même d'être signalé une autre fois. Certaines agences de banque n'acceptent pas les chèques bancaires. Elles insistent pour que les opérations se fassent en argent liquide. Un citoyen voulant régler une facture avec un chèque bancaire certifié s'est vu refuser cette opération au niveau de la BDL de Aïn Tagouraït dans la wilaya de Tipasa, qui a exigé le paiement en liquide. Il s'agit d'une somme de plus de 8 millions de centimes que doit transporter ce citoyen venu d'une autre wilaya du pays. -Cela se passe au CHU de Sidi Bel Abbès Le service hématologie du centre hospitalo-universitaire (CHU) de Sidi Bel Abbès qui compte 23 lits regroupe plus de 25 médecins spécialistes. C'est excellent, pourrions-nous dire, mais cette satisfaction s'arrête dès que l'on sait que les villes et wilayas limitrophes enregistrent des déficits en praticiens. Cette situation qui dure ne semble nullement donner à réfléchir aux responsables du secteur qui enregistrent quotidiennement les doléances des citoyens qui font remarquer le manque de spécialistes dans leur cité. Une meilleure organisation donnerait certainement du baume au cœur aux malades. -Des toiles de Juanita Guccione exposées à Sonatrach Une exposition de 174 toiles de la plasticienne d'origine américaine, Juanita Guccione, a été organisée dimanche au siège central de la Sonatrach à Alger à l'intention de la presse nationale. Ces tableaux avaient été acquis par Sonatrach en 2004 auprès de M. Djelloul Mabrouk, un Algérien, fils de l'artiste disparue et son unique héritier légal. Ces tableaux sont arrivés en Algérie le 17 mai 2004 et, depuis, Sonatrach en expose certains à la galerie d'art de sa direction générale et conserve le reste dans les mêmes lieux. Certains titres nationaux avaient écrit récemment que le sort de 174 tableaux d'art peignant l'Algérie des années 1930 restait inconnu depuis leur disparition au cours de leur transfert, par voie aérienne, de Washington à Alger.