-Rue Ferhat Boussad (Sidi M'Hamed) : Les bagarres ternissent le quartier Les habitants de la célèbre rue ex-Meissonnier, portant actuellement le nom de Ferhat Boussad, s'inquiètent du nombre de bagarres qui éclatent durant le Ramadhan. Ces disputes interviennent à quelques heures de la rupture du jeûne. Il suffit d'une simple mésentente entre deux personnes pour que cela vire à l'accrochage.Des bandes de jeunes s'affrontent entre elles, créant ainsi un climat de peur dans tout le quartier. Pourtant, cette rue fait le bonheur de tous les quartiers limitrophes. Connue pour son marché de fruits et légumes, ses magasins de vêtements, pour les galeries florissantes qui attirent les acheteurs, elle est aujourd'hui le théâtre de combats entre jeunes. «Durant ces deux jours de Ramadhan, nous avons assisté à des scènes belliqueuses qui interviennent juste après le départ du véhicule de police qui campe devant la poste», indique Madjid, habitant du quartier qui a été témoin de l'arrestation de plusieurs personnes au premier jour du Ramadhan. Les commerçants du quartier se plaignent aussi du climat d'insécurité qui règne en fin de journée. Ce qui les contraint à fermer tôt afin d'éviter les débordements. -Plage Terfaya à Deca Plage : Les agents de l'EGCTU ne remettent pas de tickets Les agents de l'Epic EGCTU présents au niveau de la plage Terfaya les Canadiennes Deca Plage, en percevant les droits de stationnement, refusent de remettre en contrepartie un ticket de parking. «Ce n'est qu'après de longues minutes d'insistance que l'agent a daigné me remettre un ticket pour les DA que je lui est remis», affirme un habitué de la plage. Plusieurs cas similaires ont été par ailleurs rapportés par d'autres citoyens. Il convient, selon les habitués de la plage, de procéder avant le recrutement de ces agents à une sélection rigoureuse, car il va de la réputation de l'établissement.