Nous recevons régulièrement, de la part des sites partenaires en langue arabe, des articles sur ce que les Moyen-Orientaux appellent, par erreur d'ailleurs, «L'Ijaz scientifique du Coran et de la Sunna». (Ijaz signifiant défi). Allah défierait l'humanité de posséder plus de sciences que Lui ! C'est impensable, n'est-ce pas ? Allah nous défie de pouvoir créer, d'apporter un Coran semblable au Sien, dix sourate, une sourate, c'est-à-dire un chapitre. Mais, il n'a jamais parlé de science, car l'homme le plus scientifique n'a jamais prétendu savoir plus que celui qui lui a donné un cerveau et des connaissances ! Dans certains articles, écrits pourtant par des docteurs, on retrouve des interprétations tellement insensées que l'on se demande les raisons de ces interprétations ? Ou alors, disons-le, c'est probablement nous qui ne comprenons pas leur «Ijaz». Le phénomène commence à prendre une telle ampleur, que nous nous sentons dans l'obligation de crier au secours, surtout quand il s'agit du Livre Saint de l'Islam. Voici quelques exemples : 1- Les vagues de profondeur Dans un bel article truffé de prêches, d'exclamations et d'émerveillement, un «spécialiste en la matière» parle des dernières découvertes sur les fonds marins et les vagues qui les agitent. Tout semblait beau, jusqu'au moment où il conclut : «Les scientifiques ont fait ces découvertes alors que le Coran en a parlé il y a plus de 14 siècles. Il s'agit des vagues de profondeur évoquées par le verset 40 de la sourate 24». En lisant cela, mon souffle s'est arrêté et ma mémoire a fait une marche arrière vertigineuse, comme une cassette vidéo à très haute vitesse. Aucun verset coranique n'est remonté en surface, depuis les profondeurs de la mer de mes souvenirs, en grande agitation ! Je me suis retenu quelques jours pour laisser décanter les vagues de surface et de profondeur. Après avoir lu et relu et le texte et les explications des principaux exégètes à ma portée, j'ai écrit à l'auteur de cet article pour lui demander de me jeter sa bouée afin de remonter en surface et de voir clair dans les «ténèbres» dont parlent effectivement les versets en question. Voici la traduction que «Quran Explorer» nous en don-ne : [Parlant des actes des mécréants, Allah dit] : «Ou alors, ils ressemblent à des ténèbres dans une mer étendue que recouvrent des vagues, au-dessus desquelles s'étendent [d'autres] vagues, sur lesquelles il y a [d'épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres ; à tel point que si quelqu'un étendait sa main, il ne la distinguerait presque pas. Celui qu'Allah prive de lumière ne pourra avoir aucune lumière.» Dans ce verset qui a conduit un marin français à proclamer sa conversion à l'Islam, et dont l'histoire nous écarterait du sujet, on ne remarque que les termes de surface que j'ai écrits en gras : «mer étendue en surface évidemment - recouvre, on ne recouvre que par-dessus - vagues sur lesquelles - au-dessus desquelles - étendait.» Donc, tout se passe au-dessus d'une mer houleuse ! A mes questions, l'auteur de l'article, qui a été repris par des millions de musulmans émerveillés par cette découverte, m'adressa la réponse suivante : «Dites-nous qui vous êtes et où vous avez étudié ?» Le plus beau, c'est que ces éminences de «l'Izaj» parlent au nom d'Allah. Ils prétendent ce que le Seigneur «veut dire par là», et ils annoncent leur interprétation, sans la moindre réserve. Or, les plus grands savants de la science islamique, et notamment ceux de l'exégèse coranique des siècles passés concluent toujours leurs écrits par «ou'Allahou a'âlam», c'est-à-dire «Allah en sait davantage». Ils se donnent toujours une marge de doute sur des questions équivoques.Voyons un deuxième exemple non moins ahurissant : 2- «Le collyre de Joseph» A l'amorce du XXIe siècle, nous avions reçu une pléiade d'articles sur Internet, annonçant une grande découverte ! Un médecin égyptien aurait réussi à extraire de «la sueur de l'homme» un collyre capable de guérir la cataracte ! Ce collyre aurait été inspiré par le verset coranique qui relate la guérison du prophète Jacob, alors aveugle, par «les odeurs de la chemise de son fils Joseph». (S12-V93/96). Je vous invite à lire à ce sujet mon petit livre Youcef et Zoulikha entre sagesse et passion. La propagande effrénée déclenchée alors a été jusqu'à dire : «Refusée à certaines firmes américaines et européennes, la licence de fabrication aurait été accordée à une compagnie autrichienne qui a accepté d'inscrire sur le flacon du collyre la mention ‘'Issu du Coran'' !» Mieux que cela, des sociétés saoudiennes auraient entrepris une grande campagne d'acquisition de terrains à travers certains pays arabo-musulmans pour la construction de cliniques ophtalmiques où des soins de cataractes par ce collyre miraculeux seraient prodigués gratuitement ! Cherchant la vérité et me méfiant de la propagande démagogique de certains milieux, j'ai écrit à l'auteur de l'article. J'ai demandé le nom pharmaceutique ou générique du produit, les pharmacies dans lesquelles on pouvait l'acquérir, et si possible, les coordonnées de l'inventeur. Je n'ai évidemment jamais reçu de réponse et je n'en attendais pas. Ce que je sais, par contre, c'est que mes yeux fragilisés par le trachome depuis mon enfance sont très sensibles à l'odeur de la transpiration. Je souffre le martyre près de quelqu'un qui sent le bouc ! D'après des informations récentes, le produit aurait été reconnu toxique ! 3- Défi numérique Avec l'aide des calculateurs modernes, certains spécialistes ont effectué des recherches sur quelques chiffres cités fréquemment par le Coran. En jonglant avec le nombre de fois que le Livre Saint mentionne certains termes, puis, en les additionnant, soustrayant multipliant ou divisant, ils ont réussi à prouver l'existence de relations, de symétries, de concordances, de complémentarité ou de rapports arithmétiques surprenants. Voulues ou non par le Rédacteur Suprême, ces singularités prouvent une certitude : il n'y a pas un terme, une syntaxe ou une répétition, qui n'ait pas sa signification dans le Livre de l'Islam. Sa structure est telle qu'il est impossible qu'il eût été écrit par un être humain quelle que soit son intelligence. Il est encore moins possible qu'il eût été écrit par un Messager analphabète du moyen-âge, nommé Mohammed. Concernant ces merveilles numériques, je ne vais en citer, à titre illustratif, que deux. Car, il en existe des centaines. Le site Yahia Harun abonde en la matière. *Les réfugiés de la grotte (S18-V12/26) Nombreux sont les scientistes, comme moi-même d'ailleurs, qui ont lu avec certaines réserves les explications de certains exégètes de la sourate la plus mystérieuse et la plus miraculeuse du Coran «Al Kahf» (la grotte). Les sceptiques, tels Mohammed Arkoun et les incrédules, ont été jusqu'à mettre en doute l'authenticité de certains versets de cette sourate. (Voir mon ouvrage Satan et les Versets de la démocratie, paru aux Editions Houma, commentaire 34-page 20) Passons sur le caractère miraculeux de l'une de ses histoires et lisons les versets de 12 à 26, qui racontent l'aventure des jeunes gens qui avaient fui la tyrannie de leur roi et s'étaient réfugiés dans les profondeurs d'une grotte, loin des tumultes de la ville et de la corruption qui la rongeait. Ils avaient décidé de se consacrer à la prière et à la dévotion pour Dieu. «Ils sont restés dans leur grotte 300 ans qu'il ont prolongés de 9», dit le Coran. Pourquoi le Coran n'a-t-il pas dit simplement : «Ils sont restés dans leur grotte 309 ans ?» Pourquoi avoir choisi cette syntaxe, peu fréquente dans son style ?Suivons le raisonnement qui a élucidé cette singularité grâce à un calcul numérique. En suivant le texte racontant l'histoire de ces moines dans les versets précités, il a compté le nombre de mots contenus entre deux expressions-clés «labithou» qui veulent dire «sont restés». Il a inclus dans son bilan l'article de jonction «و», c'est-à-dire «et». Démarrant de cette expression «labithou» du verset 12, jusqu'au même terme «labithou» du verset 25, il en a dénombré exactement 300. Ensuite, de l'expression «thalathou miata = 300» du verset 25 jusqu'à «labithou» du verset 26, il en a trouvé 9. Le Coran a donc choisi cette structure pour dire d'abord au moyen de 300 mots que les jeunes gens étaient restés dans la grotte 300 ans, «sinin». Ensuite, il ajouta une phrase de 9 mots pour dire qu'ils avaient prolongé leur séjour de 9 autres. Si l'auteur s'était arrêté à cette découverte, son article se serait terminé en beauté ! Malheureusement, il ajouta : «Si l'on compare les périodes de 300, 309 et 9 ans, on trouverait : 309-300 = 9 et 9/300= 3%, c'est exactement la différence entre l'année solaire et lunaire. L'année lunaire est inférieure à l'année solaire de 3% !» Ainsi, il tomba dans l'excès des enthousiastes qui veulent abonder dans le bourrage, en rapprochant des chiffres qui n'ont aucun rapport ou très peu. La période de séjour des réfugiés de la grotte n'a, à mon avis, aucun rapport avec la différence entre l'année lunaire et solaire. *L'astronomie capture Ramsès II Par ce titre provocateur, un astronome égyptien entame une étude laborieuse pour tenter d'appréhender le Pharaon qui avait gouverné l'Egypte au temps de Moïse. Cette question reste jusqu'à nos jours sans réponse convaincante. Voyons si l'astronomie, secourue par le Coran, lui en donne ? L'astronome est parti de trois données fondamentales : - Le jour de la beauté : fête pharaonienne, mentionnée par le Coran lorsque Moïse (AS) fixa rendez-vous à Pharaon pour le concours avec les magiciens (S20-V59). Elle est également mentionnée par l'Egyptologie comme fête de printemps. - Le samedi qui est un jour sacré du calendrier hébreu et égyptien pendant lequel la fête de la beauté est célébrée - Achoura qui est une fête pour les juifs et les musulmans. Elle commémore le jour de l'Exode et la mort du Pharaon noyé. Je vous invite à lire à ce sujet les commentaires correspondants dans mon ouvrage La Perle et la Braise, publié par Publibook. Il se trouve sur le site de cet éditeur ou sur Google. Partant de ces trois données, avec l'aide du convertisseur des calendriers de la NASA, et en tenant compte des décalages et des correctifs imposés par les différents calendriers, il prouva que l'occurrence de ces trois évènements : fête de la beauté, samedi et Achoura, n'est arrivée que deux fois dans l'histoire de l'ancienne Egypte. L'une au cours du règne de Ramsès II et l'autre, des siècles avant la constitution des empires pharaoniennes ! L'auteur aurait pu finir à ce point son exposé en beauté ! Mais, excité par les applaudissements de son entourage, il a encore une fois commis l'erreur des autres : comparer l'incomparable ! En se référant à des hadiths d'Ibnou Abbas, que l'on peut aisément mettre en doute, il ajoute une autre preuve qui, pense-t-il, confirmerait sa découverte : «Le Coran a cité le nom de Pharaon 67 fois. Selon la majorité des historiens, le règne le plus long des Pharaons est celui de Ramsès II ; iI avait duré 67 ans ! Donc : Ramsès II est bien le Pharaon de Moïse !» Quel honneur aurait fait Allah à son plus grand ennemi déclaré. Une citation dans le Coran pour chaque année de tyrannie et de blasphèmes ! Et les 67 années, sur quel calendrier avaient-elles été comptées ? Après un échange de courrier avec l'auteur, je n'ai publié dans notre site que la partie astronomie, en relation avec le Coran. J'ai également prié l'auteur de soumettre ses calculs à une autorité internationale et breveter sa découverte.Je vous invite donc à lire l'article : «Les calculs astronomiques appréhendent Ramsès II», ainsi que nos commentaires dans notre site : www.merveillescoraniques.net Le Coran détermine la vitesse de la lumière Selon une renommée mondiale de l'Ijaz, le Coran aurait «déterminé» pour nous, la vitesse de la lumière, 14 siècles avant Einstein ! Nous savons que le Coran a défini les parts de l'héritage, la période de deuil pour la veuve, les peines à infliger pour les péchés majeurs tels l'adultère, la diffamation, le vol ou encore, le nombre des mois de l'année, etc. Mais dire qu'il avait «haddada», c'est-à-dire arrêté la vitesse de la lumière, cela parait une hérésie ! Mais, par simple curiosité, j'ai essayé de suivre le calcul savant qui a conduit l'auteur de l'article à cette grande découverte. C'est avec une grande peine que j'ai réussi à débroussailler dans d'immenses amas de données, historiques, physiques, astronomiques et théologiques, les quelques lignes de calcul, à la fin d'un article de 16 pages, et que je simplifie comme suit : Durée du jour astronomique : 23 heures 56 min et 4,0906 secondes Parcours lune/jour km 2152612,269 Parcours/an km 25831347,23 Parcours en 1000 ans km 258313472228 Jour lune universel sec 86164,09966 Mois astronomique jours 27,32166088 Vitesse lune km/sec 1,022794272 Vitesse univ. Lumière km/sec 2997924895 Partant du verset 5 de la sourate 32 qui dit : «Il gère l'ordre depuis le ciel jusqu'à la terre ; après quoi, (cet ordre) lui remonte en un jour dont l'estimation serait de mille ans selon votre décompte». L'auteur calcule la distance parcourue par la lune en 1 jour (1 tour), en un mois, en 1 an puis en 1000 ans. Et sans dire pourquoi, il divise cette distance par le temps mis par la lune pour faire 1 tour (1 jour) et il trouve : 299792,457 (+- 0,0011) km/sec le chiffre universel. Sur mon tableau Excell et avec les mêmes chiffres, je trouve : 299792,499 ! Erreur de calcul me diriez-vous ? Passons sur l'erreur de calcul qui est monumentale pour une grandeur physique aussi capitale. La question que tout être sensé devrait se poser est : quel rapport peut-il y avoir entre le temps de rotation de la lune sur son orbite en 1 jour et la vitesse de la lumière qui est une valeur absolue ? Dans son calcul, l'auteur ne donne aucune réponse claire à cette question. En faisant un effort supplémentaire, et en simplifiant au mieux ce calcul, je crois avoir trouvé la réponse : En fait, en divisant la distance parcourue par la lune en 1000 ans, soit 25831347228 km, par le temps mis par la lune à parcourir une révolution, soit 86164.09966 sec, on déduit la vitesse avec laquelle la lune aurait parcouru la distance des mille ans en 1 jour. On trouve effectivement que la lune devrait parcourir cette distance à la vitesse proche de celle de la lumière. Jusqu'au début du siècle dernier, elle était estimée à 300 000 km/sec. Avec les capacités de calcul moderne on admet le chiffre de 299792,457 (+- 0,0011) km/sec ! En conséquence, même si le calcul est presque juste, il reste un jeu de cartes ou de dominos qu'Allah n'attend pas de nous, pour faire ressortir les merveilles de son Livre. Celles qui ont un lien direct et sans équivoque avec la science moderne suffisent à mon avis amplement. «La foi n'attends pas le pourquoi ?». Alors respect pour le Coran et les droits de l'Auteur Suprême ; ne lui faisons par dire ce qu'il ne veut pas dire. «C'est Lui qui a fait descendre le Livre sur toi ; il contient des Versets consolidés qui constituent le noyau du Livre et d'autres équivoques. Quant à ceux qui ont une déviation dans leur cœur, ils suivent les équivoques ; ceci, en quête de subversion et dans le but de l'interpréter (à leur guise). En fait, ne connait son interprétation qu'Allah et personne d'autre !» (S3-V7) Les premiers savants de la science coranique et les exégètes sincères approchaient avec grande prudence ces versets équivoques. Ils craignaient l'erreur fatale sur les droits d'Allah. Les experts de l'Ijaz devraient observer les mêmes réserves. Cette question m'amène inévitablement à leur poser la question suivante : Admettons que le jour de Mille ans dissimulait la vitesse de la lumière, que voudrait dire alors un Verset non moins équivoque qui s'adresse à Mohammed (Qsssl) et à nous tous évidemment, en disant : «Les Anges et le Saint Esprit montent vers lui en un jour équivalent à 50 000 ans. Résignes-toi à la bonne patience ; (le jour de la Résurrection), ils le voient loin, mais Nous le voyons proche (S70-V4)». Les savants de l'Occident découvriront-ils une vitesse dix fois plus grande que celle de la lumière ? Les musulmans de l'I'jaz se contenteraient du rôle d'interprète et de spectateur, et la trouveraient alors dans ce verset ! 4- Merveilles coraniques.net Vu l'ampleur que cet article a pris malgré moi, je ne consacrerais que quelques mots à notre site : www.merveillescoranique.net Dès le départ en 2006, nous nous sommes imposés des objectifs et une discipline axés sur : - La rigueur scientifique -La concentration sur les merveilles scientifiques du Coran et non de la sunna (tradition du Messager (SAS) - L'esprit critique - Le dialogue et la concertation - Le ciblage en priorité des intellectuels francophones - La crédibilité et le respect de la référence bibliographique Pour prouver que la merveille scientifique est bel et bien une vérité coranique, je vais vous citer seulement deux exemples, en les résumant au mieux. Ils sont publiés dans notre site. En le visitant, vous verrez qu'il contient de nombreux exemples convaincants, je l'espère. a-La cardiologie dans le Coran Après avoir raconté l'histoire de cas récents de greffe du cœur, l'article présente les conclusions de sommités de la cardiologie attestant que le cœur est le centre de télécommande et de mémorisation de l'être humain. Nous en avons alors déduit l'authenticité de cette vérité de dernière heure, avec ce que le Coran avait écrit, il y a 14 siècles. Des multiples versets cités, nous rappelons le plus significatif : «Et n'ont-ils pas circulé sur terre, en ayant des cœurs avec lesquels ils comprennent, ou des oreilles avec lesquelles ils entendent ; il est vrai que ce ne sont pas les yeux qui s'aveuglent, mais ce sont bien les cœurs qui sont dans les poitrines qui s'aveuglent !» (S22-V46). Ce verset prouve ce que la cardiologie vient de confirmer, à savoir, que c'est le cœur qui mémorise et qui raisonne ! Le cerveau n'est qu'un énorme ordinateur de calcul et de traitement de l'information, momentanément stockée. b- L'embryologie dans le Coran Dans cet article, nous avons résumé sur un tableau récapitulatif, suivant la chronologie de la création, les principales phases par lesquelles passe l'embryon. Nous avons établi un parallèle entre les dernières découvertes et les versets coraniques qui en parlent. L'imagerie et la chirurgie moderne peuvent actuellement suivre heure par heure, jour par jour, semaine par semaine et mois par mois, la formation de l'embryon au sein de sa mère. Elles ont prouvé l'exactitude de la chronologie et de la terminologie coranique phase par phase. Les cas les plus spectaculaires sont : le mélange spermatozoïde, l'adhérence (formée et non formée), la mâchée, la formation des os et des organes sensuels, etc. Qui lira ces articles devra réfléchir en son âme et conscience ! Nous vivons dans l'Univers qui a été créé pour nous ; nous mangeons des produits de la terre qui a été aménagée pour nous ; nous buvons de l'eau qui coule pour nous. Nos jours sont comptés avec exactitude et certitude. Si nous n'en avons aucune gratitude envers notre Créateur, si nous lui préférons un plaisir éphémère et une liberté chimérique, quittons Sa terre, respirons un autre air et cessons de manger et de boire de Sa nature. Faisons le Ramadhan pour l'éternité, dans un univers que le hasard des uns et l'athéisme des autres créeront peut-être pour nous !