La circulation routière trop peu fluide ces derniers temps devient un véritable casse-tête chinois pour les usagers. Il suffit que la pluie commence à tomber pour que des bouchons monstres obstruent tous les carrefours. En attendant que les études, touchant de nombreux endroits du chef-lieu de commune, dans la perspective de trouver une solution de fond à ce problème, aboutissent, emprunter les principales artères de la ville devient problématique. Ces études portent fondamentalement sur les points noirs que sont le fameux pont « Y », où sont enregistrés des accidents mortels notamment sur la route reliant Sidi Brahim au quartier Seybouse et le tronçon devant relier sur près d'un kilomètre le quartier Pont Blanc à Béni Mhaffeur en passant par l'hôpital Ibn Rochd. Heureusement que les échangeurs de Berrahal et de Rabah Bitat viennent à la rescousse.