L'affaire qui a valu, après une relaxe, un pourvoi en cassation au niveau de la chambre d'accusation au niveau de la cour suprême en ce qui concerne le subdivisionnaire, s'ouvrira donc à nouveau car le flou reste entier. L'ex-subdivisionnaire de l'hydraulique de la daïra de Aïn-Kermès, accusé d'avoir «mal géré les segments d'activités liés aux réseaux d'assainissement et à l'alimentation en eau potable au début des années 2000 sous l'ère du maire FLN à Sidi Abderrahmane», sera présenté cette semaine devant la cour de justice de Tiaret. L'affaire qui a valu, après une relaxe, un pourvoi en cassation au niveau de la chambre d'accusation et de la cour suprême en ce qui concerne le subdivisionnaire, s'ouvrira donc à nouveau car le flou reste entier. Déclenchée après plainte des citoyens qui estimaient que le projet devant être réalisé dans la localité de «Sekrana» ne l'a pas été, l'affaire a connu plusieurs rebondissements, près de dix années après. Plusieurs personnes avaient été citées à l'exemple d'entrepreneurs, de bureaux d'études, d'employés et l'ex-secrétaire général de l'APC. Même le juge d'instruction près le tribunal de Ksar-Chellala s'est déplacé sur les lieux pour voir de visu le projet tant controversé. Le maire de l'époque a écopé en deuxième instance de deux années de prison ferme et a, lui aussi, interjeté appel auprès de la cour suprême.