-Kouba : Les précisions de la SDA La direction de distribution de Belouizdad assure que la photo parue dans notre édition du 17 janvier (sur le vif) est un ancien ouvrage de distribution. Obstruant le trottoir aux nombreux piétons d'un quartier de Kouba, le poteau démesuré est toujours là, sans qu'aucune autorité ne décide à l'enlever. -Rue Larbi Ben M'hidi : Route dégradée La rue Larbi Ben M'hidi, à Alger-Centre, se dégrade à vue d'œil. Après leur passage, les différents sous-traitants des entreprises publiques ne remettent jamais en l'état la chaussée. Une fois les travaux d'enfouissement des réseaux menés, l'entreprise privée passe à une autre parcelle sans se soucier des désagréments causés aux piétons. L'APC rassure sur la prise en charge de la rue après la réhabilitation complète des immeubles. -Cité Nouvelle (Bordj El Bahri) : Protestation des bénéficiaires de lots de terrain Les bénéficiaires de lots de terrain à Bordj El Kiffan ont organisé un rassemblement, hier, devant le siège de l'APC pour réclamer la régularisation de leur situation. Une délégation des bénéficiaires de la Cité Nouvelle a tenté de rencontrer, vainement, le P/APC. «Nous avons fait le pied de grue à l'intérieur de l'APC. Le maire, qui nous a reçus dans le couloir, a prétexté un rendez-vous pour ne pas recevoir nos représentants», assure un délégué des protestataires. Les habitants de la cité réclament une réponse à leur demande de permis de construire. «Nous demandons à être éclairés sur notre situation. Nous avions bénéficié de lots de terrain à bâtir en 2002. Entre-temps, les assiettes étaient occupées par les chalets des sinistrés du séisme. Nous avons souhaité après la délocalisation du site récupérer nos terrains. Nous avons fait une demande de permis de construire en mars 2011. Pas de réponse des autorités locales», assure l'un des représentants des protestataires. Ceux-ci assurent que l'assiette devrait accueillir des projets d'utilité publique. «Le P/APC nous a assuré, lors d'un Coville, que l'espace servira pour la construction de bâtiments. Mais ces lots ont leurs propriétaires. L'Etat doit nous prendre en charge», réclame notre interlocuteur qui met en avant une décision de justice en sa faveur.